Sylvie Vézina et moi nous sommes rencontrées l’année dernière. Elle s’afférait depuis plusieurs années déjà à écrire la biographie de son père, Léo Dominique Vézina. Plusieurs ont apporté leur contribution à l’élaboration d’un tel ouvrage; j’ai quant à moi accepté de travailler bénévolement à la mise en page du document de près de 400 pages. Entre autres conversations, nous avons discuté du projet de ma mère, Francine, de soutenir la scolarisation d’enfants en Inde. Sylvie m’a semblée très touchée de cette implication sociale et surtout sensible à la réalité trop souvent ignorée de ces enfants. Le 11 novembre 2006, le lancement du livre «Le dernier chant de l’alouette» a eu lieu dans le village de Saint-Michel-de-Bellechasse. Près d’une centaine de personnes, adultes et enfants, étaient présentes. Sylvie a offert son bouquin gratuitement aux membres de sa famille et amis; elle a par ailleurs eu l’idée de laisser une boîte dans laquelle chacun pouvait y déposer un peu d’argent. Sous le thème «donnez au suivant», cette collecte et les dons qu’elle a reçus par la poste lui ont permis d’amasser 570 $, dont 270 $ ont été remis à un organisme communautaire dans la région de Québec.
Sylvie a offert les 300 $ restants de cette collecte à l’organisme que nous soutenons en Inde. Son conjoint, François Goyette, s’est joint à elle afin d’offrir 100 $ supplémentaires, montant qu’ils ont déduit de leur budget alloué à l’achat de cadeaux de Noël. Avec cet argent, des cadeaux ont été distribués et des repas chauds ont été servis à environ 70 enfants pour Noël, et 4 enfants ont été sélectionnés afin d'être admis à l’école régulière.
Nous remercions grandement Sylvie Vézina pour son appui, et pour la foi qu’elle nous inspire par sa créativité, son enthousiasme et sa persévérance !
Mae Drolet-Giroux
Sylvie Vézina et moi nous sommes rencontrées l’année dernière. Elle s’afférait depuis plusieurs années déjà à écrire la biographie de son père, Léo Dominique Vézina. Plusieurs ont apporté leur contribution à l’élaboration d’un tel ouvrage; j’ai quant à moi accepté de travailler bénévolement à la mise en page du document de près de 400 pages. Entre autres conversations, nous avons discuté du projet de ma mère, Francine, de soutenir la scolarisation d’enfants en Inde. Sylvie m’a semblée très touchée de cette implication sociale et surtout sensible à la réalité trop souvent ignorée de ces enfants.
